DJ 93

DJ 93 est le premier spectacle d’Archaos créé spécialement pour les salles de spectacle. Un Disc-Jockey rythme la vie tumultueuse des principaux caractères qui ont habité certains des spectacles précédents d’Archaos : le motard, les clowns de tôle, les bouinax (travailleurs), le boucher, les abeilles et autres acrobates originaux au sol et dans les airs.

La disposition scénique, les supports techniques (mécanique, effets spéciaux, pyrotechnie) utilisés par cette vingtaine d’artistes ont été étudiés pour être mis en œuvre en toute sécurité dans les grandes salles de théâtre.
Cet ensemble scénographique et une mise en scène « cinématographique » rythment les aventures de tous ces personnages extravagants.

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Distribution
Grégoire Meunier, Raquel Rache de Andrade, Ana Rache de Andrade, Jean Pierre Venet, Michèle Barboux, Laurent Barboux, Serge Froissard, Marc Gely, Fred Touch, Laurent Desflèche, Gérard Clarté ou Martin Schwietzke ou Jérôme Thomas, Youssef Benslama, Abdou Salam Benslama, Driss Benseddick, Salvador Bugalovales ou Pierre Dumur, Suzy Longbottom, Colin Campbell, Hélène de Vallombreuse ou Capucine Renard, Stephan Depont, Wolfgang Affolter, Dirk Steinhausen

EXTRAIT DE PRESSE

"Les premiers spectacles comme "Le chapiteau de cordes" ou "Métal clown" parlent d’exclusion, et de confrontation, de société de consommation et de lutte… Au scénario, Guy Carrara transmet le sens dramatique, le sens poétique ; aux artistes de la scène de s’en égarer au service de cet art avant tout instinctif. Ensemble, ils dynamitent le décor et créent pour chaque spectacle son « enveloppe » scénographique spécifique… à la triste réalité se mélange toujours la poésie de l’imaginaire. Barnum conceptualisant un barnum féerique où peuvent apparaître à des yeux ébahis, des palmes de jongleur, un bouclier en tôle, des chaises de jardin et un gigantesque camion discothèque, la compagnie, comme ici dans DJ 93 ne craint ni le mélange des genres ni celui des gens… En termes de succès le résultat ne se fait pas attendre. Ils ne cherchaient pas la consécration alors elle les poursuit… Malgré la reconnaissance, malgré les succès, ils ne sont jamais satisfaits car, comme l’explique leur directeur artistique, « notre qualité est de repartir à zéro à chaque spectacle, notre exigence n’est pas de peaufiner car nous ne sommes jamais dans le respect d’une forme, dans l’abouti… »"
Tristan Thérond – CULTURE COMMUNICATION – Décembre 2010 - Janvier 2011